Das Papiliorama in Kerzers wurde zur Vorweihnachtszeit beschenkt: Das Springtamarin –Weibchen „Atropa“ hat ein Junges zur Welt gebracht. Das Junge sitzt während einem Monat auf dem Rücken der Mutter anschliessend beteiligt sich für rund zwei Monate die gesamte Verwandtschaft am Herumtragen.
Die Springtamarine welche entdeckt wurden durch den Schweizer Emil Göldi (englischer Name:Goeldi’s Monkeys), sind eine faszinierende Primatenart aus der Familie der Krallenaffen. Die Springtamarine machen aus dem Stand Sätze bis zu vier Metern; das Junge muss sich deshalb auf dem Rücken der Erwachsenen sehr gut festhalten.
Die Springtamarine leben im westlichen Amazonasbecken und beanspruchen ein relativ grosses Territorium. Deshalb stellt die Abholzung der Regenwälder eine grosse Bedrohung dar. Sie werden von der „International Union for Conservation of Nature and Natural Resources“ als gefährdet eingestuft. Die Stiftung Papiliorama hilft mit beim internationalen Zuchtprogramm des europäischen Zoovereins (EAZA), welches ermöglichen soll, eine gesunde Zoo-Population aufzubauen. Dies, um die Population, falls es in nötig sein würde, in der Natur wieder ansiedeln zu können.
Copyright Bilder: Stiftung Papiliorama / Thomas Rawyler
Weitere Informationen zum Papiliorama auf www.Ausflugsziele.ch
Un joli cadeau pour le Papiliorama en cette période de Noël : Atropa, la femelle du groupe de Tamarins de Goeldi, a mis au monde un petit. Dès sa naissance, le jeune singe passe un mois sur le dos de sa mère, avant d’être pris en charge, pour les deux mois suivants, par le reste de la famille.
Ces tamarins, qui portent le nom du scientifique Emil Goeldi qui découvrit l’espèce, comptent parmi les plus fascinants représentants de la famille des Callitrichidés. Ils sont capables de sauter sur une distance de quatre mètres, et leurs jeunes doivent donc bien s’accrocher au dos des parents.
Les tamarins de Goeldi vivent dans l’Ouest du bassin amazonien, et nécessitent d’assez grands territoires. La déforestation représente donc une menace importante pour eux, et ils sont d’ores et déjà considérés comme menacés par l’UICN, l’union internationale pour la conservation de la nature. La Fondation Papiliorama participe au programme international de reproduction de l’espèce mené par l’Association européenne des jardins zoologiques (EAZA), qui vise à maintenir en captivité une population génétiquement saine, en vue de pouvoir un jour et si nécessaire les réintroduire dans la nature.
Copyright images : Fondation Papiliorama / Thomas Rawyler
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